Foire aux
questions
Découvrez notre foire aux questions, vous trouverez ici des réponses aux interrogations les plus courantes concernant nos services et notre fonctionnement. Si toutefois vous ne trouvez pas l’information recherchée, notre équipe reste à votre disposition pour vous apporter une assistance personnalisée.

Bienviyance est un cabinet indépendant de gestion de patrimoine qui accompagne ses clients
dans la construction, la protection et la transmission de leur patrimoine. Grâce à une approche
sur-mesure, nous proposons des solutions adaptées aux besoins des particuliers et des professionnels.
Notre engagement ? Offrir une expertise transparente et personnalisée pour optimiser vos
investissements et sécuriser votre avenir financier.
Un comptable se concentre principalement sur la gestion de vos finances courantes :
comptabilité, fiscalité, bilans et déclarations. Il veille à la conformité de vos obligations fiscales et optimise
votre fiscalité à court terme. Un cabinet de gestion de patrimoine, comme Bienviyance, adopte une vision
plus globale et stratégique. Nous analysons votre situation financière, vos objectifs de vie et nous vous
accompagnons dans le développement, la protection et la transmission de votre patrimoine. Nos
expertises sont complémentaires ! Travailler avec un comptable et un gestionnaire de patrimoine permet
d’optimiser à la fois votre fiscalité et votre stratégie patrimoniale sur le long terme.
Le plus tôt possible ! Il n’y a pas d’âge idéal, mais plus vous commencez jeune, plus vous
optimisez votre épargne grâce à l’effet du temps et des intérêts composés.
À 20-30 ans : C’est le moment idéal pour mettre en place des habitudes d’épargne et investir
progressivement. Même avec de petites sommes, vous bénéficiez d’un horizon long terme.
À 40-50 ans : Il est encore temps d’optimiser votre stratégie patrimoniale en diversifiant vos
investissements et en préparant activement votre retraite.
À 55 ans et plus : L’approche devient plus sécurisée avec des solutions adaptées pour garantir un
complément de revenu stable à la retraite.
Laisser son épargne dormir sur un compte courant, c’est perdre de la valeur avec l’inflation !
Pour la faire fructifier, voici quelques solutions adaptées à différents profils :
L’assurance-vie : Un placement flexible pour faire croître votre épargne avec des supports en fonds euros
(sécurisés) ou en unités de compte (plus dynamiques).
L’investissement immobilier : Que ce soit via l’achat locatif ou des SCPI (Sociétés Civiles de Placement
Immobilier), l’immobilier est une valeur sûre sur le long terme.
Les produits d’épargne retraite : Préparer l’avenir en bénéficiant d’avantages fiscaux tout en sécurisant
un complément de revenus pour plus tard. Chaque stratégie doit être adaptée à votre situation et à vos
objectifs.
La performance de votre épargne dépend du type de placement choisi, du niveau de risque et
des conditions du marché. Voici comment l’évaluer :
Vérifiez votre relevé de compte : Les assurances-vie, PEA, comptes-titres ou SCPI envoient
régulièrement un bilan de performance.
Comparez avec l’inflation : Si votre épargne rapporte moins que l’inflation, sa valeur réelle diminue. D’où
l’importance d’optimiser vos placements !
Tenez compte des frais : Certains produits financiers ont des frais de gestion qui peuvent impacter la
performance nette.
Adoptez une vision long terme : Une année négative ne signifie pas un mauvais placement, tout dépend
de votre horizon d’investissement.
Lors d’une succession, les héritiers doivent s’acquitter de droits de succession, calculés en
fonction du lien de parenté avec le défunt et du montant hérité. Voici les grandes lignes :
Abattements fiscaux : Chaque héritier bénéficie d’un abattement avant taxation :
100 000 € pour un enfant
31 865 € pour un petit-enfant
15 932 € pour un frère ou une sœur
7 967 € pour un neveu ou une nièce
Barème progressif des droits de succession : Au-delà de l’abattement, l’héritage est taxé selon un
barème progressif qui varie selon le lien de parenté (de 5 % à 45 % pour les enfants, et jusqu’à 60 %
pour des personnes sans lien de famille).
Exonérations et stratégies patrimoniales : Certains dispositifs permettent d’optimiser la transmission,
comme la donation anticipée, l’assurance-vie ou le démembrement de propriété.
Définir ses bénéficiaires est une étape essentielle pour organiser la transmission de son
patrimoine et optimiser la fiscalité. Voici quelques conseils :
Analyser sa situation familiale et patrimoniale
Qui souhaitez-vous protéger en priorité ? Votre conjoint, vos enfants, un proche ? Selon votre lien de
parenté, la fiscalité peut varier.
Utiliser la clause bénéficiaire d’une assurance-vie
L’assurance-vie permet de transmettre un capital hors succession avec une fiscalité avantageuse. La
rédaction de la clause bénéficiaire doit être précise pour éviter toute ambiguïté.
Opter pour des donations anticipées
Faire une donation de son vivant peut permettre de réduire les droits de succession et d’aider ses
proches au bon moment.
Répartir intelligemment son patrimoine
Il est possible de désigner plusieurs bénéficiaires et de répartir son patrimoine en fonction de leurs
besoins et de votre volonté.
Mettre à jour régulièrement ses bénéficiaires
Votre situation évolue ? Mariage, naissance, divorce… Pensez à actualiser vos bénéficiaires pour que
vos choix restent alignés avec votre situation.
Investir dans l’immobilier est une décision stratégique qui dépend de plusieurs facteurs :
Votre situation personnelle et financière
Avant de vous lancer, assurez-vous d’avoir une situation stable, une capacité d’emprunt suffisante et un
apport si nécessaire.
Les taux d’intérêt
Des taux bas facilitent l’emprunt et réduisent le coût total du crédit. Il est donc intéressant de surveiller les
évolutions du marché.
Le contexte immobilier
Selon l’offre et la demande, certaines périodes peuvent être plus favorables pour acheter, notamment si
les prix sont stables ou en baisse.
Vos objectifs
Résidence principale : Le bon moment, c’est quand vous trouvez un bien qui correspond à vos besoins et
à votre budget.
Investissement locatif : Il faut s’assurer de la rentabilité, du dynamisme du marché local et des avantages
fiscaux en vigueur.
Les dispositifs fiscaux
Certains dispositifs (ex : loi Malraux) permettent d’optimiser votre investissement.
Un apport solide facilite l’obtention d’un prêt immobilier et améliore les conditions de
financement. Voici comment le constituer efficacement :
Construire son apport
Épargner régulièrement : Mettez en place une épargne automatique (livrets, assurance-vie, PEA…) pour
accumuler progressivement un capital.
Utiliser des placements adaptés : Un compte à terme, une assurance-vie ou des placements dynamiques
permettent de faire fructifier votre épargne.
Valoriser son patrimoine existant : Si vous possédez déjà un bien ou des actifs, ils peuvent être utilisés
comme garantie ou levier pour votre projet.
Préparer son projet immobilier
Définir son budget : Prenez en compte l’apport, les frais annexes (notaire, travaux, garanties…) et votre
capacité d’emprunt.
Optimiser son dossier : Un bon historique bancaire et une situation stable rassurent les banques et
améliorent les conditions de prêt.
Se faire accompagner : Un courtier ou un conseiller en gestion de patrimoine comme Bienviyance peut
vous aider à structurer votre projet et optimiser votre financement.
Se préparer en amont permet d’augmenter ses chances d’obtenir un prêt dans de bonnes conditions et
de réussir son investissement !
La transmission d’une entreprise est une étape stratégique qui nécessite une préparation
minutieuse pour garantir la pérennité de l’activité et optimiser les aspects fiscaux. Voici les étapes clés :
Anticiper la transmission
La planification doit commencer plusieurs années avant la transmission pour optimiser la fiscalité et la
gestion du patrimoine. Plus tôt vous commencez, plus vous aurez de possibilités pour structurer la
cession.
Évaluer la valeur de l’entreprise
Une évaluation précise est essentielle pour déterminer le prix de cession. Il est recommandé de faire
appel à un expert-comptable ou un conseiller spécialisé pour évaluer les actifs, les passifs et la rentabilité
de l’entreprise.
Choisir la méthode de transmission
Il existe plusieurs solutions pour transmettre son entreprise :
Vente à un tiers : Cession complète ou partielle à un acheteur externe.
Transmission familiale : Donation ou vente à un membre de la famille. Cela peut permettre de bénéficier
d’abattements fiscaux sur les droits de donation.
Cession à un salarié : Si vous avez des cadres ou des collaborateurs prêts à reprendre, la transmission
interne peut être une solution intéressante.
Optimiser la fiscalitéLa transmission d’entreprise peut être soumise à des droits de donation ou de succession. Des dispositifs
comme le Pacte Dutreil permettent de réduire ces coûts fiscaux sous certaines conditions (notamment en
cas de transmission familiale).
Accompagner la reprise
La transmission n’est pas seulement une question financière. Il faut aussi préparer la transition en
formant le repreneur et en préservant l’activité de l’entreprise.
Formaliser la transmission
Il est important de bien rédiger les actes de cession, les contrats et de respecter les formalités juridiques
pour que la transmission soit valide et sereine.
Une trésorerie bien gérée est essentielle pour assurer la liquidité de l’entreprise tout en
optimisant sa rentabilité. Voici quelques stratégies pour faire travailler votre trésorerie efficacement :
Optimiser la gestion de la trésorerie courante
Suivi rigoureux des flux de trésorerie : Mettez en place un tableau de bord pour suivre les entrées et
sorties d’argent, ce qui vous permettra d'anticiper les besoins de financement.
Gestion des créances et dettes : Accélérez le recouvrement des créances clients et négociez les délais
de paiement avec vos fournisseurs pour améliorer la liquidité.
Réduire les coûts fixes : Analysez régulièrement vos dépenses pour réduire celles qui ne sont pas
essentielles et optimiser votre rentabilité.
Investir la trésorerie excédentaire
Lorsque vous avez un excédent de trésorerie, il est important de le faire fructifier plutôt que de le laisser
dormir. Voici quelques options :
Placement à court terme : Utilisez des instruments financiers sûrs, comme des comptes à terme, des
livrets d’épargne ou des obligations, pour faire croître votre excédent de manière sécurisée.
Investissement dans des actifs stratégiques : Investir dans de nouveaux projets ou équipements peut
générer des revenus supplémentaires tout en modernisant votre entreprise.
Assurance-vie entreprise : C’est un produit intéressant pour sécuriser et faire fructifier votre trésorerie
avec une gestion flexible.
Mettre en place un crédit de trésorerie
Un crédit de trésorerie (comme une ligne de crédit ou un découvert autorisé) peut être une solution
temporaire pour gérer les périodes de faible liquidité tout en maintenant les opérations de l’entreprise.
Diversification des sources de revenus
Explorez de nouvelles sources de revenus ou partenariats pour renforcer votre cash flow. Une
diversification peut inclure des offres de produits ou services supplémentaires, ou l’accès à de nouveaux
marchés.
Sécuriser la rentabilité à long terme
Investissez dans des solutions pour améliorer l’efficacité de votre gestion de trésorerie, comme des
logiciels de gestion ou des conseils en gestion financière, pour maximiser votre rentabilité.
Faire sa déclaration d’impôts est une étape essentielle pour être en règle avec l’administration
fiscale. Voici les étapes à suivre pour la faire correctement :
Préparer les documents nécessaires
Remplir la déclaration en ligne
Déclarer les charges et réductions fiscales
Vérifier et valider la déclaration
Soumettre et suivre l’avancement
Paiement de l’impôtConseils supplémentaires
-
Faites attention aux dates limites : La date limite varie selon votre situation et la zone
géographique.
-
Gardez des copies de votre déclaration pour vos archives.
Les lois fiscales et les régulations évoluent chaque année, ce qui peut avoir un impact sur vos
finances personnelles et professionnelles. Voici quelques conseils pour vous adapter efficacement :
-
Suivi annuel de votre situation fiscale et patrimoniale
Il est essentiel de faire un bilan annuel pour revoir votre stratégie fiscale et patrimoniale. Cela vous
permet de vous assurer que vous êtes toujours conforme aux nouvelles lois et de maximiser les
opportunités offertes par les changements législatifs.
-
Rester informé des évolutions fiscales
Les lois peuvent être modifiées en cours d’année. Assurez-vous de suivre les actualités fiscales et les
annonces de l’administration, soit par vos propres recherches, soit via un conseiller fiscal spécialisé.
-
Mettre à jour vos investissements et stratégies
Les changements législatifs peuvent impacter vos placements, vos réductions d’impôt ou vos stratégies
de transmission de patrimoine. Par exemple, une évolution des abattements fiscaux ou des taux
d’imposition peut nécessiter une révision de vos choix d’investissements ou de la structure de votre
entreprise.
-
Consulter un expert
Pour rester en conformité avec les nouvelles lois et optimiser vos choix, il est recommandé de consulter
un expert en gestion de patrimoine ou un fiscaliste chaque année. Ils vous aideront à ajuster vos
stratégies en fonction des nouvelles règles fiscales et à tirer parti des dispositifs d’optimisation
disponibles.
-
Réagir rapidement aux changements législatifs
Les lois fiscales et sociales peuvent impacter plusieurs aspects de votre vie : épargne, retraite,
succession, etc. Il est donc important d’adopter une approche proactive pour adapter rapidement votre
stratégie.
Protéger votre famille, c’est anticiper les risques et prendre des mesures pour assurer leur
sécurité financière et leur avenir. Voici quelques stratégies pour garantir leur protection :
-
Assurer la couverture santé et prévoyance
Souscrire à une assurance santé et une assurance prévoyance (comme une couverture décès,
incapacité de travail, etc.) permet de garantir à votre famille un soutien financier en cas de coup dur. Cela
peut couvrir les frais médicaux, les soins à domicile ou même les pertes de revenus.
-
Protéger votre patrimoine avec une assurance-vie
Une assurance-vie permet de protéger votre famille en cas de décès, tout en constituant un capital pour
leur avenir. Vous pouvez aussi désigner des bénéficiaires pour faciliter la transmission du patrimoine avec
une fiscalité avantageuse.
-
Anticiper la transmission de votre patrimoine
Mettre en place une stratégie de transmission (comme une donation ou un démembrement de propriété)
permet de protéger vos proches tout en réduisant les droits de succession. Cela permet de leur léguer
des biens en minimisant les impôts à payer.
-
Prévoir un fonds d’urgence
Créer un fonds de secours est crucial pour faire face à des imprévus financiers (périodes de chômage,
accidents de la vie, etc.). Ce fonds permet à votre famille de subvenir à ses besoins sans mettre en péril
la stabilité financière.-
Rédiger un testament
Le testament permet de définir précisément la répartition de votre patrimoine et de garantir que vos
volontés seront respectées après votre décès. Vous pouvez aussi nommer un tuteur pour vos enfants
mineurs en cas de besoin.
-
Diversifier les sources de revenus
Diversifier vos investissements et avoir plusieurs sources de revenus peut aider à sécuriser l'avenir de
votre famille. Investir dans l'immobilier, l'épargne, ou des placements à long terme peut offrir une sécurité
financière à vos proches.
Les garanties d'un contrat peuvent varier en fonction du type de contrat (assurance, prêt,
épargne, etc.), mais elles visent toutes à vous protéger et à vous offrir des solutions adaptées à vos
besoins. Voici les principales garanties que vous pouvez retrouver :
Garanties d’assurance
-
Garantie décès : Si le souscripteur décède, le contrat prévoit le versement d’un capital aux
bénéficiaires désignés.
-
Garantie invalidité : En cas d'incapacité de travail ou d’invalidité, cette garantie peut couvrir les
revenus perdus et financer des soins ou une aide.
-
Garantie hospitalisation : Elle couvre les frais liés à l’hospitalisation, qu'ils soient médicaux,
chirurgicaux ou liés à un accident.
-
Garantie perte d’autonomie : Elle permet de financer les frais liés à la perte d’autonomie, en
particulier les frais de prise en charge à domicile ou en établissement.
Garanties sur les prêts
-
Garantie de remboursement : En cas de non-remboursement de l’emprunt (décès, invalidité,
chômage), certaines assurances de prêts peuvent couvrir une partie ou la totalité des
mensualités restantes.
-
Garantie hypothécaire ou caution : En cas de défaut de paiement, l’établissement prêteur peut
faire jouer une garantie, comme une hypothèque ou une caution, pour récupérer les fonds prêtés.
Garanties sur l’épargne et les investissements
-
Garantie en capital : Certaines solutions d’épargne (comme les assurances-vie ou comptes à
terme) garantissent le remboursement du capital investi, parfois avec un rendement minimum.
-
Garantie des rendements : Des placements peuvent offrir des rendements garantis pendant une
période donnée, tout en limitant les risques financiers.
-
Garantie sur les produits structurés : Certains investissements complexes offrent une protection
partielle du capital ou des rendements fixes pendant une période déterminée.
Garanties en cas de litige
-
Garantie juridique : Elle permet d’être accompagné en cas de litige avec un tiers ou une
administration, couvrant les frais juridiques et parfois les frais de justice.
-
Garantie d’assistance : Certaines assurances incluent une assistance juridique ou la prise en
charge de services liés à des événements imprévus (ex : panne de voiture, perte de clés, etc.)
Garanties de service
-
Service client : Les garanties peuvent inclure un service d’assistance 24/7 ou des services dédiés
pour accompagner les assurés dans leurs démarches et les conseiller.
-
Flexibilité : Certaines garanties permettent de modifier ou ajuster le contrat en fonction de vos
besoins et de votre situation.
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